arpenter , dessiner, rencontrer le paysage dans la lumière de l’hiver
Une ville, un pays à l’âge certain
tube
cheminée
poutrelle en fonte
ligne
rond
trapèze
triangle
rectangle
se courbent dans un reflet où le ciel devient façade.
Le miroir exagère les courbes du sensuel au bonheur de la fusion
De ces formes d’une géométrie primaire,
se savoure cette fusion où le mouvement amène au déplacement.
Graphite et aquarelle – 20×30 cm (2022)
Crayon blanc et noir – 20×30 cm (2022)
Un rythme
où mon regard s’emballe de formes en formes,
où le soleil lèche d’un reflet (à l’éclat déformant) gourmand
jusqu’à l’extase du moment.
Une explosion en bouche de saveurs pailletées au son de « Ne partez pas sans moi »,
acidulé « Du bleu de tes yeux »…
« Arrêter le temps comme si j’avais rêvé ».
Encre de chine – 30×40 cm (2022)
Pastel sec, paillette argentée – 30×40 cm (2022)
Crayon encre noires, aquarelle – 10×15 20×30 cm (2020 – 2022)
La foule tourbillonne.
Jamais seule, toujours quelqu’un qui marche, court, se pose.
Une impression de l’autre, de soi qui se mêlent
pour une simulation de l’égo en soie.
Cette douce vibrance accompagne la rencontre.
Le visuel est le seul langage possible.
La surimpression sans mot.
L’habitude amène à ce calme où il devient possible de se pauser.
